Quel est le point commun entre ces pays : Corée du Nord, Somalie, Irak, Syrie, Afghanistan, Soudan, Iran, Pakistan, Erythrée, Nigeria, Maldives, Arabie Saoudite, Libye,Yémen, Ouzbékistan,Vietnam, Centrafrique, Qatar, Kenya, Turkménistan, Inde, Ethiopie, Egypte, Djibouti, Myanmar, Territoires Palestiniens, Brunei, Laos, Chine, Jordanie, Bhoutan, Comores, Tanzanie, Algérie, Colombie, Tunisie, Malaisie, Mexique, Oman, Mali, Turquie, Kazakhstan, Bangladesh, Sri Lanka, Tadjikistan, Azerbaïdjan, Indonésie et Mauritanie ?

Vous ne voyez pas ?

150 à 200 millions de chrétiens y subissent des persécutions pour le seul fait de croire au Christ. Oui, c’est bien par haine de la foi chrétienne, et par elle seule, que de nos jours encore, des enfants, des femmes et des hommes sont persécutés, emprisonnés, condamnés ou assassinés seulement parce qu’ils sont chrétiens ou engagés en faveur de la justice et la paix au nom de leur foi.

Dernier épisode relayé par les médias : le 2 avril 2015 à Garissa, au Kenya 148 étudiants ont subi “la brutalité insensée” d’un groupe de djihadistes qui les a assassinés, après les avoir triés pour n’éliminer que les chrétiens.
En Irak et en Syrie, nous assistons depuis quelques années à un phénomène terroriste d’une dimension jusqu’alors inimaginable. Des exactions d’une atrocité inouïe sont commises par “l’État islamique” (Daech) : meurtres de masse, décapitation de ceux qui pensent différemment, éventration de femmes enceintes, vente des femmes sur le marché, enrôlement des enfants pour les combats, destruction des lieux de culte,…

On peut parler légitimenent d’une “guerre mondiale faite aux chrétiens”, selon le mot de John Allen.

“On a l’impression que toute conscience de la valeur de la vie humaine a été perdue, que la personne ne compte plus et que l’on peut la sacrifier à d’autres intérêts. Et tout cela dans l’indifférence de tant de monde.” (Pape François)
Le monde entier doit connaître “l’intolérable brutalité” dont sont victimes les chrétiens dans de nombreux pays. Il est l’heure de prier pour ceux qui tombent massivement ! Il est l’heure de sauver ceux qui ne tiendront plus encore très longtemps ! Il est temps d’écouter l’appel de ceux qui nous supplient de les aider…

“J’ai cette grande espérance qu’à la fin, la résurrection viendra. Nous sommes dans un tunnel, il est long, étroit et sombre. Mais au bout, il y a la lumière, il y a le jour. Le mal n’a pas d’avenir. Il fait beaucoup de dégâts, beaucoup de bruit, il tue ! Mais il n’a pas d’avenir. Alors que le bien est lent, laborieux, mais il est stable, il est vainqueur” (Louis Raphael Sako, patriarche des chaldéens).